Un système immunitaire fort, des lavages de mains plus fréquents, une manipulation soignée des aliments: ce sont là quelques-unes des clés pour passer un temps des Fêtes en santé et à l’abri des infections courantes à cette période de l’année.
1. Renforcer son système immunitaire
Les occasions de rencontre étant nombreuses durant les Fêtes, renforcer son système immunitaire est la meilleure façon d’aider notre corps à mieux se défendre contre les infections. Cela commence par l’adoption de saines habitudes de vie, comme privilégier une alimentation équilibrée (incluant la prise de suppléments naturels), faire de l’exercice régulièrement et maintenir une bonne hygiène de sommeil.
Quelques aliments riches en vitamines et antioxydants à prioriser:
- les agrumes;
- l’ail;
- les légumes verts;
- les noix et graines;
- le gingembre;
- les aliments lactofermentés (yogourt, kéfir);
- les poissons gras;
- la tomate.
Des célébrations sans pression
Réduire son niveau de stress est essentiel au maintien d’une immunité forte et d’une bonne santé. Se relaxer et prendre du temps pour soi devrait faire partie de la liste des préparatifs. On n’hésite pas à confier certaines tâches à des gens de notre entourage si on sent qu’on en a trop sur les bras.
2. Se laver les mains
Nos mains, qui sont en contact avec de multiples surfaces, agissent comme vecteur de transmission microbienne. Bien les laver fait donc partie des gestes de base pour éviter la contamination. On réduit le risque de propagation des virus et des bactéries en se frottant les mains avec du savon pendant au moins 20 secondes* avant de les rincer à l’eau chaude. On peut aussi utiliser un gel antiseptique. Et dans tous les cas, on évite de se toucher le visage.
*Source: Santé Canada.
À la maison, il est nécessaire de désinfecter plus fréquemment:
- les poignées de porte et d’armoire;
- les interrupteurs;
- les télécommandes et manettes.
3. Aérer pour limiter la transmission des bactéries et virus
Une bonne circulation de l’air s’avère efficace pour réduire les agents pathogènes en suspension. En hiver, on n’hésite pas à ouvrir les fenêtres, ne serait-ce que cinq minutes, pour favoriser le renouvellement de l’air partout dans la maison.
4. Éviter la contamination croisée
En cuisine, le transfert de micro-organismes d’un aliment à un autre ou d’une surface à une autre peut mener à des intoxications alimentaires. On s’assure de séparer les aliments frais ou crus de ceux qui sont cuits ou prêts à manger. On recommande d’utiliser une planche à découper pour la viande et une autre pour les légumes, autrement il faut laver soigneusement celle qu’on a lorsqu’on coupe un autre aliment. On fait de même pour les couteaux et les ustensiles qui sont en contact avec les aliments.
5. Respecter les températures de cuisson
En matière de salubrité, la cuisson adéquate des aliments s’inscrit parmi les bonnes pratiques. À cette étape, le thermomètre est des plus utiles pour vérifier avec précision la température interne des viandes et des volailles qui seront servies. Par exemple, la température interne à atteindre pour une dinde entière est de 82°C (180°F) et celle de la viande hachée (pour les boulettes et tourtières) est de 71°C (160°F).
6. Limiter le temps d’exposition des aliments
Lors d’un buffet, on évite de laisser la nourriture reposer à température ambiante pendant plus de 2 heures* au risque de voir les bactéries proliférer. On s’empresse de réfrigérer ou de congeler les restes dans des contenants hermétiques qu’on range à la vue. En cas de doute sur la salubrité d’un aliment, on le met au compost.
*Source: Guide des bonnes pratiques d’hygiène et de salubrité alimentaires, Ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec.
Le microbiote joue un rôle fondamental dans notre santé globale, agissant comme un pilier interconnecté avec les divers systèmes de notre corps. Il est essentiel de souligner que la peau possède également son propre microbiote, qui contribue à son équilibre et à sa protection. Bien que de nombreuses recherches soient encore en cours pour comprendre les mécanismes physiopathologiques reliant le microbiote intestinal à la santé cutanée, les naturopathes et autres praticiens d’approches traditionnelles (Ayurvéda) ont depuis longtemps observé cette connexion. Ainsi, lorsqu’une personne consulte un naturopathe pour des problèmes de peau, elle reçoit souvent des recommandations visant à soutenir son système digestif et à favoriser la santé de son microbiote intestinal. Cette approche holistique permet de prendre en compte l’interaction entre les différents microbiotes et leur impact sur la santé de la peau.
Bien entendu, différentes causes peuvent expliquer les problèmes de peau et elles sont souvent multifactorielles et complexes. Du point de vue naturopathique, les problèmes de peau sont souvent vus sous deux angles complémentaires, soit de l’extérieur (la peau elle-même) et aussi de l’intérieur (la digestion par exemple). On ne pensera donc pas uniquement à des crèmes ou des onguents, mais aussi à des produits et des aliments pour aider votre microbiote et la santé de vos intestins, entre autres.
La glutamine
C’est cet acide aminé qui exercerait un double-rôle au niveau de la barrière intestinale et de l’élasticité de la peau. En effet, une supplémentation en glutamine ainsi que d’autres acides aminés selon une étude en double-aveugle pourraient participer au renforcement de la paroi intestinale pour lutter contre l’hyperperméabilité intestinale. Elle contribuerait aussi directement à la santé de la peau en favorisant la croissance des fibroblastes. D’après de nombreux praticiens et leurs clients, la glutamine aurait apporté un soulagement aux personnes atteintes de rosacée.
Finalement, rappelons qu’une exposition exagérée aux rayons du soleil entraîne la formation de rides due à la dégradation du collagène. Une supplémentation en glutamine inverserait cet effet en augmentant la production de cette substance pour favoriser l’élasticité de la peau.
Les oméga-3
Ils jouent un rôle crucial dans le maintien d’une hydratation optimale de la peau et offrent des effets anti-inflammatoires significatifs. En favorisant l’hydratation, ils aident à préserver l’élasticité et la souplesse de la peau, tout en réduisant l’inflammation qui peut entraîner des irritations et des problèmes cutanés. Si vous n’en consommez pas suffisamment dans votre alimentation, un supplément pourrait être bénéfique si vous êtes aux prises avec l’acné ou l’eczéma.
La propolis
C’est une substance efficace pour toute sorte de boutons et d’acné. C’est un vrai trésor de la ruche. On la trouve sous plusieurs formes: crème, liquide et complément alimentaire. Les soins à la propolis sont donc variés et particulièrement adaptés au support contre l’acné. Gardez aussi en tête d’avoir sous la main du miel pur, non pasteurisé, dans votre pharmacie maison puisque celui-ci détient d’impressionnantes propriétés antibactériennes, anti-inflammatoires et hydratantes et a été prouvé très efficace contre les problèmes de la peau.
Le miel de Manuka
En application directe est plus particulièrement, il est reconnu pour ses propriétés médicinales en raison de son contenu en Methylglyoxal (MGO) qui lui confèrent des effets antibactériens intéressants pour protéger une barrière cutanée affectée par l’acné.
Prendre soin de sa peau ne se limite pas aux soins externes. En soutenant la santé intestinale, en gérant le stress et en adoptant une approche holistique, il est possible d’améliorer et de prévenir de nombreux problèmes cutanés.
Jade Marcoux, Naturopathe diplômée de l’ÉESNQ
Ecole d’enseignement supérieur de naturopathie du Québec
Les informations sanitaires et médicales publiées dans cet article ou liées à celui-ci sont les opinions de l’auteur uniquement, et ne doivent pas être utilisées pour le diagnostic ou le traitement d’une maladie ou d’un trouble de la santé. Les lecteurs doivent faire preuve de discernement. Il leur appartient de vérifier de manière indépendante les informations fournies dans l’article. Le contenu de l’article est destiné à des fins de discussion et à titre informatif seulement, et ne doit en aucun cas se substituer à une consultation médicale. Votre professionnel de la santé est le seul à pouvoir évaluer au mieux votre état de santé et à vous conseiller après une consultation complète. Aucune responsabilité ne sera acceptée par Rachelle Béry pour les informations affichées ou liées à l’article, ainsi qu’à leur utilisation ou leur mauvais usage.
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La fatigue est un problème courant dans notre société moderne, souvent aggravé par des emplois stressants, un mode de vie effréné et une alimentation déséquilibrée. Beaucoup cherchent donc des solutions pour retrouver de l’énergie et revitaliser leur quotidien.
Multidimensionnelle, la fatigue a des sources variées: le manque évident de sommeil, les déséquilibres hormonaux, le stress oxydatif, l’inflammation, le débalancement du système nerveux, le microbiote intestinal, les déficiences nutritionnelles, le ralentissement du métabolisme énergétique (baisse de production d’Adénosine Triphosphate – principale source d’énergie de nos cellules) ou encore des problèmes de santé sous-jacents. Il est donc crucial d’identifier la source de la fatigue pour retrouver l’énergie manquante.
Avant de se lancer dans l’utilisation de compléments alimentaires, des changements simples dans le mode de vie, comme une meilleure hygiène de sommeil, ou une alimentation plus équilibrée, peuvent faire une grande différence.
Toutefois, il existe des superaliments tout comme des produits naturels qui peuvent recharger vos batteries et renforcer votre bien-être général.
Les superaliments, particulièrement riches en nutriments sont efficaces pour revitaliser votre énergie au quotidien :
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Spiruline : cette algue bleu-vert est constituée en protéines, vitamines B, fer et antioxydants. Par ses propriétés revitalisantes, la spiruline augmente la capacité des personnes à résister à la fatigue mentale et physique.
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Matcha : cette poudre de thé vert est composée d’antioxydants également, des vitamines A, C, E, K et de minéraux comme le zinc. Bonne nouvelle pour les sportifs, la consommation quotidienne de thé matcha accélère l’adaptation des muscles à l’entrainement de résistance (musculation). Ce qui modère les réponses au stress et à la fatigue induites par l’exercice.
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Pollen d’Abeille frais : ce produit de la ruche riche en protéines et vitamines B fortifie le système immunitaire, et de fait améliore le niveau d’énergie
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Baies de Goji : ces petites baies de la famille des solanacées est pleine d’antioxydants, vitamines A, E, C, ainsi que de minéraux comme le calcium. Elles augmentent les réserves de glycogène musculaire et hépatique, ce qui contribue à stabiliser l’énergie et donne cet effet anti-fatigue.
Les superaliments peuvent être ajoutés à des smoothies, des salades, des soupes, des yogourts. Combinez-les avec une alimentation saine pour maximiser leurs effets énergisants.
Certaines plantes permettent également d’offrir un soutien précieux pour remonter les niveaux d’énergie et combattre la fatigue :
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Ginseng asiatique (panax ginseng) : Il aide le corps à mieux gérer le stress et à améliorer la résistance physique et mentale. Il stimule l’énergie par le biais de la régulation du métabolisme des glucides, du retardement de l’accumulation des métabolites, de la promotion de la fonction mitochondriale (au niveau cellulaire).
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Rhodiola (Rhodiola Rosea) : cette plante originaire de l’Europe de l’Est, exerce un effet anti-fatigue en augmentant les performances mentales et en réduisant l’épuisement déjà installé, via l’axe hypothalamique pituitaire surrénalien (HPS).
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Maca (Lepidium meyenii) : cette racine péruvienne augmente l’endurance et améliore la résistance au stress. Comme la fatigue peut également être une conséquence d’un déséquilibre gastro-intestinal, le maca apporte progressivement un regain d’énergie via la modulation de l’écosystème microbien intestinal.
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Ashwagandha (Withania somnifera) : bien connue de la médecine ayurvédique, l’ashwagandha est bénéfique pour réduire les stress du quotidien et stabiliser les niveaux d’énergie tout au long de la journée, au travers de l’axe HPS et du système nerveux autonome. Elle améliore aussi la qualité du sommeil, ce qui peut indirectement augmenter les niveaux d’énergie.
Avant toute consommation de produits de santé naturel, il est essentiel de consulter un professionnel pour obtenir des conseils, surtout si vous avez des conditions médicales préexistantes ou si vous prenez des médicaments. Les produits naturels, bien que généralement sûrs, peuvent interagir avec certains traitements ou provoquer des effets secondaires chez certaines personnes.
En conclusion, retrouver son énergie repose sur plusieurs éléments essentiels: une alimentation nutritive, une bonne hydratation et une hygiène de sommeil adéquate constituent les fondations nécessaires pour lutter contre la fatigue. Les superaliments et les produits naturels offriront également un appui majeur, puisqu’en les associant à un mode de vie plus “santé”, vous optimiserez vos chances de retrouver un bien-être durable.
N’oubliez pas que chaque personne est unique, et que votre fatigue provient de causes qui peuvent être différentes de celles d’autrui. Adoptez une approche personnalisée en consultant un naturopathe vous permettra de trouver les meilleures solutions adaptées à vos besoins.
Delphine Kubica, Naturopathe diplômée de l’ÉESNQ
Ecole d’enseignement supérieur de naturopathie du Québec
Les informations sanitaires et médicales publiées dans cet article ou liées à celui-ci sont les opinions de l’auteur uniquement, et ne doivent pas être utilisées pour le diagnostic ou le traitement d’une maladie ou d’un trouble de la santé. Les lecteurs doivent faire preuve de discernement. Il leur appartient de vérifier de manière indépendante les informations fournies dans l’article. Le contenu de l’article est destiné à des fins de discussion et à titre informatif seulement, et ne doit en aucun cas se substituer à une consultation médicale. Votre professionnel de la santé est le seul à pouvoir évaluer au mieux votre état de santé et à vous conseiller après une consultation complète. Aucune responsabilité ne sera acceptée par Rachelle Béry pour les informations affichées ou liées à l’article, ainsi qu’à leur utilisation ou leur mauvais usage.
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Imaginez-vous vous réveiller un matin avec une gorge irritée et un nez bouché. À midi, votre tête semble prise dans un étau, et le soir venu, vous toussez sans arrêt. Nous sommes tous passés par là … pris dans l’emprise d’une infection mineure qui perturbe notre quotidien. Bien que ces maux communs comme la bronchite, la sinusite et l’otite puissent être un véritable supplice, comprendre leur nature et explorer des remèdes naturels peut faire une différence significative. Le médecin Claude Bernard a souligné l’importance du terrain en affirmant : « Le microbe n’est rien, le terrain est tout. » Pour soutenir ce terrain, en particulier les défenses immunitaires endogènes, les plantes peuvent vous aider à renforcer votre protection.
L’Échinacée (Echinacea angustifolia or E. purpurea) est une plante qui a la capacité de renforcer notre système immunitaire. En capsules ou en teinture-mère, ce produit permet de lutter contre les infections diverses et agit comme un antibactérien naturel. Les composés de cette plante, comme l’acide cichorique, les échinacosides, les alkylamides et les polysaccharides, stimulent l’activité immunitaire de certains globules blancs chargés de détruire et de digérer les micro-organismes infectieux pour qu’ils combattent l’infection plus efficacement. Son action immunostimulante le place donc en première position des remèdes à prendre en automne pour maximiser sa vitalité.
Un autre antimicrobien très efficace provenant du monde végétal est l’extrait de pépin de pamplemousse (EPP). Il est particulièrement utile en cas d’infections de la sphère ORL, les affections bronchiques, ainsi que les infections intestinales et vaginales. Riches en flavonoïdes et en vitamine C notamment, ils possèdent des propriétés immunostimulantes et antioxydantes et peuvent être utilisés pour soutenir le système immunitaire. Vous le retrouverez en capsules pour une action interne à large spectre ou en gouttes pour une action plutôt locale, par exemple, en gargarisme pour un mal de gorge.
Grâce à son large spectre d’action, l’ail se positionne comme un généraliste anti-infectieux. La plante et son composé actif, l’allicine, ont démontré des effets inhibiteurs sur des bactéries variées telles que Salmonella enteritidis et Escherichia coli (responsables de gastro-entérites et infections urinaires), pour n’en nommer que quelques-unes. Cependant, le pouvoir antibactérien de l’ail diminue avec le temps de stockage et la cuisson. Il est donc préférable de le consommer cru, frais et broyé. À défaut d’en avoir sous la main, il existe plusieurs suppléments efficaces d’ail. En prévention, l’ail stimule également la multiplication des macrophages et des lymphocytes.
Si toutefois une bronchite s’était installée, les boissons chaudes sont à consommer sans modération, et en particulier les infusions et décoctions à base de plantes avec un tropisme pour les voies respiratoires et l’inflammation comme le sureau (Sambucus nigra) et le sirop de plantain (Plantago major).
En cas de sinusite, pensez principalement à faire une vaporisation nasale au sérum physiologique et bain vapeur facial avec quelques gouttes d’huiles essentielles d’eucalyptus (Eucalyptus globulus) ou de niaouli (Melaleuca viridiflora).
Si vous avez une otite, on pourrait aussi penser à appliquer un cataplasme d’oignon directement sur l’oreille endolorie ou masser le pourtour de l’oreille avec une huile essentielle d’Eucalyptus radié (Eucalyptus radiata), de Ravintsara (Cinnamomum camphora), ou encore de Camomille allemande (Matricaria chamomilla), préalablement diluée dans une huile végétale. N’introduisez jamais d’huiles essentielles à l’intérieur de l’oreille.
Bien que certaines infections mineures puissent parfois sembler inévitables, vous pouvez renforcer votre immunité et diminuer leur fréquence en adoptant une approche holistique. Celle-ci combine des habitudes de vie saines, des mesures préventives pour stimuler votre vitalité et l’utilisation de remèdes naturels.
Jade Marcoux, Naturopathe diplômée de l’ÉESNQ
Ecole d’enseignement supérieur de naturopathie du Québec
Les informations sanitaires et médicales publiées dans cet article ou liées à celui-ci sont les opinions de l’auteur uniquement, et ne doivent pas être utilisées pour le diagnostic ou le traitement d’une maladie ou d’un trouble de la santé. Les lecteurs doivent faire preuve de discernement. Il leur appartient de vérifier de manière indépendante les informations fournies dans l’article. Le contenu de l’article est destiné à des fins de discussion et à titre informatif seulement, et ne doit en aucun cas se substituer à une consultation médicale. Votre professionnel de la santé est le seul à pouvoir évaluer au mieux votre état de santé et à vous conseiller après une consultation complète. Aucune responsabilité ne sera acceptée par Rachelle-Béry pour les informations affichées ou liées à l’article, ainsi qu’à leur utilisation ou leur mauvais usage.
Sources et références :
Références:
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Les séances quotidiennes ou régulières de 30 minutes de marche au grand air contribuent au maintien d’une bonne santé physique et mentale. Cette activité, qu’on peut pratiquer à tout âge, est accessible à tous et ses bienfaits sont multiples. En voici 8.
1. On améliore notre cardio
Marcher est bon pour le cœur et réduit le risque de maladie cardiaque. Sa pratique régulière améliore la circulation sanguine et favorise une bonne santé cardio-vasculaire et respiratoire.
2. On renforce nos muscles
La marche renforce la musculature des jambes, celle de la ceinture abdominale et du tronc. Le tonus est amélioré, l’équilibre aussi. Intégrer cette activité à notre routine aide à maintenir la souplesse de nos articulations et améliore notre posture.
3. On dépense de l’énergie
Qu’on se déplace à un rythme rapide ou à une cadence plus modérée, la dépense énergétique est au rendez-vous. Les marches matinales facilitent le contrôle de l’appétit pour le reste de la journée.
4. On est moins stressé et de meilleure humeur
L’exercice physique en plein air est efficace pour oxygéner le cerveau et pour réduire le stress et les symptômes d’anxiété. La sécrétion d’endorphines (hormones du bonheur) augmente chez les personnes qui marchent de façon régulière.
5. On renforce notre système immunitaire
Les marches quotidiennes contribuent au renforcement du système immunitaire et nous protègent contre les infections saisonnières. Les personnes sédentaires sont plus à risque d’être malades et leur récupération est moins rapide que chez les marcheurs et marcheuses.
6. On dort mieux
La pratique régulière de la marche en plein air est bénéfique pour le sommeil. L’exercice physique, particulièrement celui qu’on accomplit tôt le matin, en améliore la qualité.
7. On stimule notre créativité
Marcher augmente la créativité et améliore la productivité. Sortir prendre une marche est donc une option à envisager avant de prendre une décision qui mérite réflexion.
8. On renforce nos os et articulations
L’impact de la marche sur nos os et articulations est faible. Être actif aide à renforcer nos os, ce qui réduit le risque de blessures, ceux-ci étant plus solides. De même, sortir régulièrement favorise la production de vitamine D, la peau étant exposée à la lumière du soleil. Le processus d’ostéoporose est ralenti.
Les effets calmants de la vapeur d’eau sont connus depuis longtemps. Ce gaz issu de l’évaporation de l’eau réunit chaleur et humidité, toutes deux bénéfiques pour le corps et l’esprit. Voici 5 bienfaits liés à son utilisation ainsi que des conseils pour profiter de bains vapeur à la maison.
Sur le plan de la santé physique et mentale, la vapeur contribue à:
1- Détendre les muscles tendus et soulager les douleurs musculaires. Pour s’offrir un bain détente à la maison, on remplit la baignoire avec de l’eau suffisamment chaude pour qu’elle produise de la vapeur. La durée d’une séance de bain vapeur ne devrait pas dépasser 30 minutes.
2- Réduire le stress et l’anxiété. La vapeur générée dans les bains de vapeur, aussi appelés hammams, favorise la détente mentale. Profiter d’un environnement de vapeur, c’est s’offrir un moment de relaxation et d’apaisement pour l’humeur et l’esprit. On peut bonifier l’expérience en ajoutant des huiles essentielles ou des sels de bain à l’eau.
3- Améliorer la circulation sanguine. La chaleur de la vapeur dilate les vaisseaux sanguins permettant au sang de circuler plus facilement tout en réduisant la pression artérielle. Une meilleure circulation sanguine améliore l’oxygénation des tissus, ce qui favorise la guérison des blessures et la régénération des tissus.
4- Décongestionner les voies respiratoires. La vapeur chaude les humidifie, ce qui soulage la congestion nasale et la toux. À la maison, on verse de l’eau amenée à ébullition dans un bol résistant à la chaleur au-dessus duquel on incline la tête pour inhaler la vapeur qui se dégage.
5- Améliorer l’apparence de la peau. L’humidité adoucit et assouplit la peau et la garde hydratée. Pour une routine beauté à la maison, on place le visage au-dessus d’un bol d’eau chaude en ajustant la distance afin que l’expérience soit confortable et ne pose aucun risque de brûlures. On utilise une serviette pour se couvrir la tête et concentrer la vapeur chaude.
Bon à savoir
On suggère de boire beaucoup d’eau avant et après une séance de bain vapeur. Les personnes souffrant de troubles cardiorespiratoires devraient s’informer auprès de leur médecin avant d’utiliser la vapeur.
Les genoux jouent un rôle essentiel dans notre mobilité quotidienne, mais ils sont souvent négligés jusqu’à ce qu’ils commencent à causer des douleurs. L’inconfort articulaire et l’inflammation du genou peuvent limiter nos activités et diminuer notre qualité de vie. Il existe un éventail d’approches pour promouvoir le bien-être articulaire et soulager l’inflammation.
Concernant certaines substances ou plantes, il y en a plusieurs qui sont reconnues soit à travers des études, soit de manière empirique.
Voici les majeurs :
La glucosamine et la chondroïtine sont des substances présentes naturellement dans le cartilage, et leur supplémentation peut aider à maintenir l’intégrité du cartilage articulaire. Les études démontrent d’ailleurs que la combinaison des deux molécules tend à avoir un effet synergique plus important sur la douleur que si pris séparément.
Le curcuma, avec son composé actif, la curcumine, est reconnu pour ses propriétés anti-inflammatoires puissantes. L’extrait de curcuma longa est d’ailleurs bénéfique pour le soulagement de la douleur et l’amélioration fonctionnelle chez les patients souffrant d’arthrose symptomatique du genou. Vérifiez que votre complément contient bien du poivre noir, tout en le prenant en mangeant pour une meilleure absorption.
L’extrait de Boswellia, est dérivé de l’arbre Boswellia serrata et est utilisé depuis des siècles dans la médecine ayurvédique pour ses propriétés anti-inflammatoires. Il peut être bénéfique pour réduire l’inflammation et soulager les douleurs articulaires, y compris celles associées à l’arthrite du genou.
Le collagène est une protéine structurelle importante présente dans les articulations, les os et la peau. Les suppléments de collagène sont souvent utilisés pour soutenir la santé articulaire et améliorer la mobilité. Ils peuvent aider à renforcer les structures articulaires et à réduire les douleurs associées à l’arthrose. Le collagène contient plusieurs types de protéines, qui par leur combinaison forment différents types de collagènes. Privilégiez un collagène contenant au moins le type I pour un soutien des tendons, des ligaments ainsi que des os; mais aussi le type II pour la bonne santé du cartilage articulaire.
Prendre soin de ses genoux nécessite toujours une approche complète. En combinant une alimentation à tendance anti-inflammatoire, une activité physique adaptée, une supplémentation au besoin et des approches manuelles, vous pouvez favoriser la santé de vos genoux de manière naturelle. Cependant, il est toujours recommandé de consulter un naturopathe pour obtenir des conseils personnalisés en fonction de votre situation spécifique. En prenant des mesures préventives et en adoptant un mode de vie sain, vous pouvez maintenir des genoux forts et flexibles tout au long de votre vie.
Delphine Kubica, Naturopathe diplômée de l’ÉESNQ
Ecole d’enseignement supérieur de naturopathie du Québec
Les informations sanitaires et médicales publiées dans cet article ou liées à celui-ci sont les opinions de l’auteur uniquement, et ne doivent pas être utilisées pour le diagnostic ou le traitement d’une maladie ou d’un trouble de la santé. Les lecteurs doivent faire preuve de discernement. Il leur appartient de vérifier de manière indépendante les informations fournies dans l’article. Le contenu de l’article est destiné à des fins de discussion et à titre informatif seulement, et ne doit en aucun cas se substituer à une consultation médicale. Votre professionnel de la santé est le seul à pouvoir évaluer au mieux votre état de santé et à vous conseiller après une consultation complète. Aucune responsabilité ne sera acceptée par Rachelle-Béry pour les informations affichées ou liées à l’article, ainsi qu’à leur utilisation ou leur mauvais usage.
Sources et références :
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Ogata, T., Ideno, Y., Akai, M. et al. Effects of glucosamine in patients with osteoarthritis of the knee: a systematic review and meta-analysis. Clin Rheumatol 37, 2479–2487 (2018). DOI: 10.1007/s10067-018-4106-2
2. Effectiveness and safety of glucosamine and chondroitin for the treatment of osteoarthritis: a meta-analysis of randomized controlled trials
Zhu, X., Sang, L., Wu, D. et al. Effectiveness and safety of glucosamine and chondroitin for the treatment of osteoarthritis: a meta-analysis of randomized controlled trials. J Orthop Surg Res 13, 170 (2018). DOI: 10.1186/s13018-018-0871-5
3. Efficacy of curcumin and Boswellia for knee osteoarthritis: Systematic review and meta-analysis
Raveendhara R. Bannuru, MD; Mikala C. Osani, BA; Fatimah Al-Eid, MD; and Chenchen Wang, MD, MSc1.Semin Arthritis Rheum. 2018 Dec; 48(3): 416–429 Published online 2018 Mar 10. DOI: 10.1016/j.semarthrit.2018.03.001
4. Effectiveness of Curcuma longa extract versus placebo for the treatment of knee osteoarthritis: A systematic review and meta-analysis of randomized controlled trials
Wenli Dai, Wenqiang Yan, Xi Leng, Jing Chen, Xiaoqing Hu, Yingfang Ao. published: 02 July 2021 DOI: 10.1002/ptr.7204
5. Effectiveness of Boswellia and Boswellia extract for osteoarthritis patients: a systematic review and meta-analysis.
Yu, G., Xiang, W., Zhang, T., et al. Effectiveness of Boswellia and Boswellia extract for osteoarthritis patients: a systematic review and meta-analysis. BMC Complement Med Ther 20, 225 (2020). DOI:10.1186/s12906-020-02985-6
6. Efficacy of the omega-3 fatty acids supplementation on inflammatory biomarkers: An umbrella meta-analysis
Zeynab Kavyani, Vali Musazadeh, Soroor Fathi, Amir Hossein Faghfouri, Parvin Dehghan, Bahareh Sarmadi
International Immunopharmacology, October 2022. DOI: 10.1016/j.intimp.2022.109104
7. A meta-analysis of the analgesic effects of omega-3 polyunsaturated fatty acid supplementation for inflammatory joint pain.
Robert J. Goldberg, Joel Katz. International Association for the Study of Pain. May 2007.
DOI: 10.1016/day.pain.2007.01.020
8. Effect of collagen supplementation on osteoarthritis symptoms: a meta-analysis of randomized placebo-controlled trials.
García-Coronado, J.M., Martínez-Olvera, L., Elizondo-Omaña, R.E. et al. International Orthopaedics (SICOT) 43, 531–538 (2019). DOI: 10.1007/s00264-018-4211-5
9. Effectiveness of the use of non-hydrolysed type II collagen in the treatment of osteoarthritis: a systematic review and meta-analysis.
David Sadigursky, Mário Martins Sanches, Nathalia Machado Garcia, Mariana de Oliveira Cantão, Marcos Almeida Matos. Brazilian Journal of Health Review, [S. l.], v. 6, n. 1, pp. 1649–1660, 2023. DOI: 10.34119/bjhrv6n1-131
Les oméga-3 sont des acides gras essentiels qui jouent un rôle crucial dans la santé humaine. Leur consommation régulière est associée à de nombreux bienfaits, tels que la réduction de l’inflammation, le soutien de la santé cardiovasculaire et le maintien d’une fonction cérébrale optimale. Alors que les oméga-3 peuvent être obtenus à partir d’aliments comme le poisson gras, les graines de lin et les noix, il est reconnu que nos régimes alimentaires occidentaux sont déficients en acides gras oméga-3 et contiennent des quantités excessives d’acides gras oméga-6. De nombreuses personnes optent d’ailleurs pour des suppléments afin d’atteindre leurs besoins en acides oméga-3. Cependant, avec tant d’options disponibles sur le marché, choisir le bon supplément d’oméga-3 peut être déroutant. Voici quelques conseils pour s’y retrouver et choisir un supplément d’oméga-3 de haute qualité qui répond à vos besoins individuels.
Type d’acides gras Oméga-3
Le premier aspect à considérer est le type d’acides gras oméga-3 présents dans le supplément. Les deux principaux acides gras oméga-3 sont l’acide eicosapentaénoïque (EPA) et l’acide docosahexaénoïque (DHA). Il existe également l’acide alpha-linolénique (ALA), qui est un acide gras à chaîne courte devant être converti en EPA et DHA dans le corps. Cependant, cette conversion n’est pas très efficace chez certaines personnes. C’est pourquoi on trouvera plus facilement des suppléments en EPA et DHA, apportant ainsi une meilleure biodisponibilité.
Source d’acides gras Oméga-3
Les acides oméga-3 peuvent être dérivés de différentes sources animales (EPA/DHA) comme végétales (ALA). Les huiles de poissons, krill (crustacés), algues sont les plus répandues en supplémentation.
On trouve également de nombreuses huiles végétales alimentaires comme l’huile de lin, de noix de Grenoble, de chanvre ou encore de cameline. Les acides oméga-3 se dégradent rapidement, et donc ces huiles rancissent vite. Il vaut donc mieux les acheter en petit flacon et la conserver au réfrigérateur. Il est également recommandé aussi de choisir des huiles vierges, pressées à froid et d’origine biologique si possible. Comme beaucoup d’huiles riches en acides gras essentiels, il ne faut pas les chauffer, mais plutôt la consommer crue pour assaisonner des salades ou dans un smoothie pour en augmenter les apports nutritionnels. Seul l’huile de cameline offre une plus grande résistance au rancissement oxydatif, et lui confère une meilleure stabilité si chauffée (point de fumée à 475 degrés F). Elle est donc une bonne option à considérer pour cuisiner. Choisissez une source qui correspond à vos préférences alimentaires, que vous suiviez un régime omnivore, végétarien ou végétalien.
Concentration des suppléments en Oméga-3
Vérifiez la concentration en oméga-3 indiquée sur l’étiquette du produit. Il est important de connaître la quantité d’EPA et de DHA par portion pour déterminer l’efficacité du supplément. L’EPA a des effets positifs sur les maladies coronariennes, les triglycérides élevés, l’hypertension artérielle et l’inflammation. Le DHA, lui, joue un rôle crucial pour le maintien d’une fonction cérébrale saine chez l’adulte. Ils sont également reconnus essentiels pour la croissance, le développement du système nerveux central, et le fonctionnement visuel des nourrissons pendant la grossesse et les six premiers mois de leur vie. Le DHA se trouve dans le lait maternel et est ajouté à certaines préparations pour nourrissons.
Assurez-vous donc que le supplément que vous choisissez contient une combinaison appropriée d’EPA et de DHA pour répondre à vos besoins individuels.
Forme de suppléments
Les suppléments d’acides oméga-3 sont disponibles sous forme de capsules molles ou en liquide. Choisissez une forme qui vous convient le mieux en fonction de vos préférences personnelles et de votre facilité à avaler le produit. Enfin, une bonne conservation au frais et à l’abri de la lumière permettra de garder vos suppléments dans les meilleures conditions.
Certification et réputation de la marque
Optez pour des marques réputées et certifiées qui respectent des normes de qualité élevées. Recherchez des certifications telles que les bonnes pratiques de fabrication (BPF) et les labels de pureté tiers, tels que l’IFOS (International Fish Oil Standards) pour les suppléments d’huile de poisson.
Choisir le bon supplément d’oméga-3 nécessite de prendre en compte plusieurs facteurs, comme le type d’acides gras, la source du supplément, sa concentration, sa forme, la réputation de la marque et les considérations diététiques et médicales qui pourraient s’appliquer. En suivant ces conseils, vous pouvez trouver un supplément d’oméga-3 de haute qualité qui contribuera à soutenir votre santé globale.
Delphine Kubica, Naturopathe diplômée de l’ÉESNQ
Ecole d’enseignement supérieur de naturopathie du Québec
Les informations sanitaires et médicales publiées dans cet article ou liées à celui-ci sont les opinions de l’auteur uniquement, et ne doivent pas être utilisées pour le diagnostic ou le traitement d’une maladie ou d’un trouble de la santé. Les lecteurs doivent faire preuve de discernement. Il leur appartient de vérifier de manière indépendante les informations fournies dans l’article. Le contenu de l’article est destiné à des fins de discussion et à titre informatif seulement, et ne doit en aucun cas se substituer à une consultation médicale. Votre professionnel de la santé est le seul à pouvoir évaluer au mieux votre état de santé et à vous conseiller après une consultation complète. Aucune responsabilité ne sera acceptée par Rachelle-Béry pour les informations affichées ou liées à l’article, ainsi qu’à leur utilisation ou leur mauvais usage.
Sources et références :
1. The importance of the ratio of omega-6/omega-3 essential fatty acids
Biomedicine and Pharmacotherapy 56 (8) – p365–379. (2002)
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DOI: 10.1016/s0753-3322(02)00253-6
2. Omega-3 Fatty Acids EPA and DHA: Health Benefits Throughout Life
Advances in Nutrition, an international review journal. (2012)
Danielle Swanson, Robert Block, Shaker A Mousa
DOI: 10.3945/an.111.000893
3. Health benefits of docosahexaenoic acid (DHA)
Pharmacological Research, Vol. 40, No. 3, 1999. Article No. phrs.1999.0495
L A Horrocks, Y K Yeo.
DOI: 10.1006/phrs.1999.0495
4. Omega-3 Polyunsaturated Fatty Acids and Their Health Benefits
Annual Review of Food Science and Technology
Fereidoon Shahidi, Priyatharini Ambigaipalan
DOI: 10.1146/annurev-food-111317-095850
5. Bonnes pratiques de Fabrication (BPF)
6. IFOS (International Fish Oil Standards)
https://certifications.nutrasource.ca/about/how-certifications-work/ifos
https://info.nutrasource.ca/ifos-certification-for-omega-3-products
Dans notre société moderne, où le stress et les écrans sont omniprésents, la qualité du sommeil est devenue une préoccupation majeure pour beaucoup. L’insomnie, ou le fait de ne pas pouvoir s’endormir ou de rester endormi, est même qualifié parfois de mal du siècle. L’altération du sommeil peut avoir un impact significatif sur la santé mentale comme physique. Heureusement, il existe des approches pour améliorer la qualité du sommeil. Intégrer quelques conseils ci-dessous pourrait contribuer à recouvrir un sommeil de qualité.
Adopter une routine de sommeil
UUne routine de sommeil cohérente est essentielle pour réguler votre horloge biologique. Essayez de vous coucher et de vous lever à la même heure tous les jours, même le week-end. Cette stabilité aide votre corps à anticiper le sommeil, favorisant un endormissement plus facile. Éviter aussi les siestes, même en cas de fatigue, qui fragmentent le sommeil nocturne.
Créer un environnement propice au sommeil
L’environnement dans lequel nous dormons peut avoir un impact significatif sur la qualité de notre sommeil. Assurez-vous que votre chambre à coucher est propice au repos en maintenant une température fraîche, en bloquant la lumière externe et en réduisant les bruits indésirables. Investissez dans un matelas confortable et des oreillers qui soutiennent correctement votre tête et votre cou.
Limiter l’exposition aux écrans avant le coucher
La lumière bleue émise par les écrans de nos appareils électroniques peut perturber la production de mélatonine, l’hormone du sommeil. Pour favoriser un endormissement naturel, limitez votre exposition aux écrans au moins une heure avant le coucher. Optez plutôt pour des activités relaxantes telles que la lecture, la méditation ou un bain chaud.
Faire de l’exercice régulièrement
L’exercice régulier peut améliorer la qualité du sommeil en favorisant la relaxation et en réduisant le stress. L’activité physique régulière peut aider à réduire le temps nécessaire pour s’endormir, ainsi qu’à améliorer la durée et la profondeur du sommeil. Cependant, évitez de faire de l’exercice a intensité haute juste avant le coucher, car cela peut augmenter votre niveau d’énergie et rendre l’endormissement plus difficile.
Surveiller son alimentation
Évitez les repas lourds et les stimulants comme la caféine et la nicotine quelques heures avant le coucher. L’alcool peut également perturber le sommeil en fragmentant les cycles de sommeil. Optez plutôt pour une collation légère si vous avez faim avant de dormir.
Supplémentation
Si les modifications d’habitudes de vie ne suffisent pas, il est possible de se tourner vers quelques compléments naturels pour améliorer la qualité du sommeil.
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Mélatonine : La mélatonine est une hormone naturelle sécrétée par la glande pinéale qui régule le cycle veille-sommeil. La supplémentation en mélatonine peut réduire le temps nécessaire pour s’endormir. Il existe aussi une forme a libération prolongée plus particulièrement indiquée pour les personnes qui n’ont pas de problème à s’endormir, mais se réveillent fréquemment en cours de la nuit ou ne parviennent pas à rester endormies jusqu’au matin. Pour toutes ces formes, il est généralement recommandé de prendre de la mélatonine environ 30 minutes à une heure avant le coucher.
5-HTP : Le 5-HTP (5-hydroxytryptophane) est un acide aminé produit naturellement par l’organisme à partir du tryptophane, un autre acide aminé. Le 5-HTP est un précurseur direct de la sérotonine, un neurotransmetteur impliqué dans la régulation de l’humeur et du sommeil. Le 5-HTP peut favoriser un sommeil plus profond et réparateur, en étant pris le soir peu avant le coucher.
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GABA : La supplémentation en GABA (acide gamma-aminobutyrique) est devenue populaire pour ses effets calmants.
Le GABA agit comme un frein pour l’activité neuronale, favorisant la relaxation et la réduction de l’anxiété. Lorsque les niveaux de GABA sont équilibrés, cela peut faciliter la relaxation, l’endormissement et améliorer la qualité du sommeil en favorisant un état de détente.
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Plantes somnifères : Il existe de nombreuses plantes aux propriétés sédatives telles que la valériane, la scutellaire, la mélisse, la camomille, le houblon et l’avoine. Vous pouvez les trouver combinées dans des formules d’herboristerie, sous forme de teinture-mère (liquide) ou en capsules. Leur principal avantage réside dans leur efficacité et leur absence de risques de dépendance.
Il existe de nombreuses plantes aux propriétés sédatives telles que la valériane, la scutellaire, la mélisse, la camomille, le houblon et l’avoine. Vous pouvez les trouver combinées dans des formules d’herboristerie, sous forme de teinture-mère (liquide) ou en capsules. Leur principal avantage réside dans leur efficacité et leur absence de risques de dépendance.
Delphine Kubica, Naturopathe diplômée de l’ÉESNQ
Ecole d’enseignement supérieur de naturopathie du Québec
Les informations sanitaires et médicales publiées dans cet article ou liées à celui-ci sont les opinions de l’auteur uniquement, et ne doivent pas être utilisées pour le diagnostic ou le traitement d’une maladie ou d’un trouble de la santé. Les lecteurs doivent faire preuve de discernement. Il leur appartient de vérifier de manière indépendante les informations fournies dans l’article. Le contenu de l’article est destiné à des fins de discussion et à titre informatif seulement, et ne doit en aucun cas se substituer à une consultation médicale. Votre professionnel de la santé est le seul à pouvoir évaluer au mieux votre état de santé et à vous conseiller après une consultation complète. Aucune responsabilité ne sera acceptée par Rachelle-Béry pour les informations affichées ou liées à l’article, ainsi qu’à leur utilisation ou leur mauvais usage.
Sources et références :
1. The Relationship Between Lifestyle Regularity and Subjective Sleep Quality
Timothy H. Monk, Charles F. Reynolds III, Daniel J. Buysse, Jean M. DeGrazia & David J. Kupfer
Pages 97-107 | Received 17 Jul 2002, Accepted 12 Oct 2002, Published online: 07 Jul 2009
2. A Randomized, Double-Blind, Crossover Study to Investigate the Pharmacokinetics of Extended-Release Melatonin Compared to Immediate-Release Melatonin in Healthy Adults
Mun, J. G., Wang, D., Doerflein Fulk, D. L., Fakhary, M., Gualco, S. J., Grant, R. W., & Mitmesser, S. H. (2024). Journal of Dietary Supplements, 21(2), 182–194.
DOI: 10.1080/19390211.2023.2206475
3. Standardized Extract of Valeriana officinalis Improves Overall Sleep Quality in Human Subjects with Sleep Complaints: A Randomized, Double-Blind, Placebo-Controlled, Clinical Study
Chandra Shekhar, H., Joshua, L. & Thomas, J.V. Advances in Therapy – 41, 246–261 (2024).
DOI: 10.1007/s12325-023-02708-6
4. 5-Hydroxytryptophan (5-HTP): Natural Occurrence, Analysis, Biosynthesis, Biotechnology, Physiology and Toxicology
Massimo E Maffe. International journal of molecular science 2021, 22(1), 181.
DOI: 10.3390/ijms22010181
5. Effects of Oral Gamma-Aminobutyric Acid (GABA) Administration on Stress and Sleep in Humans: A Systematic Review
Piril Hepsomali, John A. Groeger, Jun Nishihira and Andrew Scholey.
Frontiers in Neuroscience (2020)
6. The Role of Magnesium in Sleep Health: A Systematic Review of Available Literature
Arab, A., Rafie, N., Amani, R. et al. Biol Trace Elem Res 201, 121–128 (2023).
DOI: 10.1007/s12011-022-03162-1
Dans la section des produits de soins personnels, les antisudorifiques et les déodorants sont nombreux. Qu’est-ce qui les différencie? Qu’en est-il de la formulation et de l’applicateur à privilégier? Dans cet article, on répond à ces questions afin de vous aider à faire un choix éclairé.
Naturelle, la transpiration
Avant toute chose, il faut savoir que la transpiration est un mécanisme physiologique qui a pour fonction de réguler la température corporelle. Suer est donc un phénomène tout à fait naturel, voire nécessaire. Autre précision importante, la sueur en tant que telle est sans odeur. Ce sont plutôt les bactéries qui se trouvent sous les aisselles qui sont responsables des effluves désagréables.
Déodorant vs antisudorifique
Pour partir sur de bonnes bases, il est important de différencier les deux produits.
• Les déodorants neutralisent l’odeur corporelle. Ils contiennent des ingrédients antibactériens (l’alcool en est un) qui ralentissent la prolifération des bactéries susceptibles de causer les mauvaises odeurs. Ils renferment aussi des agents absorbants comme des fécules (de maïs, de riz) ou du talc, dont le rôle est d’absorber l’humidité.
Bon nombre de produits sont parfumés afin de masquer les odeurs liées à la transpiration. D’autres incorporent des hydratants pour apaiser les peaux sèches. Contrairement aux antisudorifiques, les déodorants ne sont pas conçus pour bloquer la production de sueur; l’aluminium est donc absent de leur liste d’ingrédients.
• Les antisudorifiques réduisent l’humidité grâce aux sels d’aluminium qu’ils contiennent. Cet ingrédient actif se dissout dans l’humidité formant un gel qui bouche de façon provisoire les pores de la peau et empêche les glandes sudoripares d’excréter la sueur. On évite la sensation de moiteur sous les aisselles et par conséquent les mauvaises odeurs. De même, l’alcool présent dans plusieurs produits apporte une dose de fraîcheur et accélère le séchage de l’ingrédient actif.
Les déodorants et antisudorifiques sont souvent offerts en un seul produit. Mais pour connaître le type de protection qui nous convient le mieux, il faut se poser la question à savoir si on souhaite contrer la sueur ou enrayer les odeurs.
Composition des produits
Il revient à chacun de trouver la formule qui lui convient le mieux en fonction de son type de peau, de la fragrance et de la sensation de fraîcheur recherchées.
• Peaux sensibles
On recommande aux personnes ayant la peau sensible de se tourner vers les produits hypoallergéniques, conçus sans alcool ni sels d’aluminium et qui ne contiennent aucun parabène ni parfum. En cas d’irritation, il faut cesser les applications; il est possible que le produit ne convienne pas à notre type de peau.
• Transpiration importante
Les antisudorifiques peuvent aider les personnes qui transpirent abondamment, mais pour celles qui sont atteintes d’hyperhidrose (terme médical employé pour parler de sudation excessive), une protection accrue est de mise. Les produits à base de chlorhydrate d’aluminium sont réputés plus efficaces. Des produits formulés cliniquement peuvent être prescrits, mais doivent être appliqués au coucher sur des aisselles propres pour gagner en efficacité.
La forme de l’applicateur
Les antisudorifiques, comme les déodorants, sont répartis en quatre catégories. On trouve ainsi des produits en aérosol, en bâton, à bille ou en crème.
• En aérosol
Pratiques à utiliser, ils ont l’avantage d’être secs à l’application et laissent la peau des aisselles exempte de résidus, pour une sensation de fraîcheur accrue.
• En bâton
Ils sont vendus sous forme solide et possèdent une grande surface d’application. Ces produits offrent une bonne protection et s’avèrent idéaux pour contrer la transpiration excessive.
• À bille
Faciles à utiliser, ils recouvrent la peau d’une fine couche de protection qui sèche rapidement et ne tache pas les vêtements.
• En crème
Ces produits sans alcool sont tout indiqués pour les peaux sensibles et peuvent être appliqués sur une peau nouvellement épilée.
Et l’emballage?
Il existe d’autres options que le plastique à usage unique pour les déodorants et les antisudorifiques. On peut se procurer des produits en bâton présentés dans des emballages en carton biodégradables ou on sélectionne des applicateurs avec recharge.
Aluminium: un mythe qui perdure
Parce qu’ils bloquent les pores et empêchent la peau de transpirer sous les aisselles, certains groupes allèguent que les sels d’aluminium présentent des risques pour la santé. Cet ingrédient est notamment pointé du doigt dans les cas de cancer du sein et de maladie d’Alzheimer. Sur le site de la Société canadienne du cancer, on précise qu’à ce stade-ci des recherches, il n’existe aucune preuve liant le cancer du sein à l’utilisation d’antisudorifiques à base de sels d’aluminium. La Société Alzheimer du Canada fait le même constat sur son site en écrivant qu’aucune preuve ne permet de faire le lien entre «l’exposition à l’aluminium et le développement de troubles cognitifs».
C’est l’été et, par temps de forte chaleur, la température peut devenir incommodante pour les enfants. Voici quelques astuces pour rendre ces périodes plus tolérables tout en prévenant la déshydratation et les coups de chaleur chez les tout-petits.
De l’eau en tout temps
L’eau est importante par temps de canicule, non seulement pour boire, mais aussi pour se rafraîchir. Quelques fois dans la journée, on suggère de faire prendre un bain d’eau tiède à son enfant, ou encore d’aller se tremper dans une petite piscine ou une pataugeoire. Un vaporisateur d’eau peut aussi être utilisé en plus de devenir un jeu.
En-cas rafraîchissant
En collation, des fruits et des légumes contenant beaucoup d’eau, comme les tomates et les fraises, sont parfaits pour l’hydratation. Les eaux aromatisées à la lime et à la menthe permettent de varier les plaisirs. Pour les repas, on privilégie des aliments qui se digèrent facilement et qui sont froids. Une soupe fraîche, de style gaspacho, faite de concombre et de melon d’eau, fait l’affaire, tout comme une salade de pâtes et de légumes, selon l’âge de l’enfant.
Essayez cette recette: Gaspacho de tomates et melon d’eau
Repérer les signes de complications liées à la chaleur
- Peau et lèvres sèches
- Difficulté à respirer
- Urine foncée ou moins d’urine
- Maux de tête, vomissements ou diarrhée
- Yeux creux ou cernés
- Agitation, irritabilité ou confusion
- Somnolence et difficulté à se réveiller
- Température du corps élevée, 38,5oC et plus, au thermomètre rectal
- Couleur anormalement pâle de la peau ou rouge
Si un ou plusieurs de ces signes sont présents, il est recommandé d’appeler Info-Santé (811) ou de consulter un médecin.
Source: ministère de la Santé et des Services sociaux
Vêtements légers
On opte pour des vêtements faits dans un tissu qui respire bien, comme un cache-couche en coton, ou même simplement une couche, et pour les plus vieux, on mise sur des vêtements en coton courts. Le chapeau est de mise. On en choisit un à larges rebords, pour couvrir le cou, les oreilles et le visage de bébé.
Qu’est-ce qu’une canicule?
Depuis une vingtaine d’années, le nombre de canicules a augmenté au Québec. La définition de chaleur extrême varie selon les régions. En moyenne, on la définit lorsque la température extérieure affiche 30oC ou plus le jour, et entre 16 et 20oC la nuit, pendant trois jours consécutifs. On dit même que le nombre de journées de grosses chaleurs risque de tripler d’ici 2080. D’où l’importance de développer de bonnes habitudes lorsque le thermomètre est à la hausse.
Source: Santé Canada et Météo média
Protection solaire
Il est important d’utiliser une bonne crème solaire. Celle-ci devrait être en crème et à large spectre, c’est-à-dire qu’elle protège contre les rayons solaires UVA et UVB, puis devrait être de FPS 45 ou plus, notamment si votre enfant a la peau claire. On en applique toutes les deux heures ou immédiatement après la sortie de l’eau.
Coin fraîcheur
Bien qu’on aime jouer dehors, on suggère, durant les journées de canicule, de prévoir les activités extérieures avant 10h et après 16h et majoritairement à l’ombre. Durant la période la plus chaude, on prévoit des pauses à l’intérieur, idéalement dans des endroits climatisés. Dans tous les cas, on limite les activités intenses en préférant les jeux modérés.
Sur ce, profitez bien de la chaleur avec vos petits !
L’été est une période merveilleuse pour profiter du plein air en famille. Cependant, c’est aussi synonyme d’exposition aux rayons du soleil et aux piqûres de moustiques. Pour protéger votre peau et celle de vos proches tout en préservant la santé de la planète, il est essentiel de choisir des produits naturels et sûrs. Dans cet article, nous vous guiderons à travers les ingrédients à privilégier et les meilleures options disponibles sur le marché.
Crèmes solaires naturelles
Lorsque vous choisissez une crème solaire, concentrez-vous sur les ingrédients actifs qui assurent la protection contre les rayons UVB et UVA ainsi que sur les ingrédients inactifs qui composent sa base. Privilégiez les produits utilisant des filtres minéraux comme l’oxyde de zinc plutôt que des filtres chimiques comme l’oxybenzone et l’octinoxate, potentiellement nuisibles à la santé humaine et aux écosystèmes marins. De nos jours, certaines gammes de produits parviennent à formuler des crèmes solaires non grasses et non collantes.
Concernant les ingrédients inactifs, recherchez des produits étiquetés comme étant sans parabènes, sans sulfates et sans fragrances ni parfums artificiels. En revanche, les ingrédients supplémentaires comme l’huile de coco, l’huile d’amande douce et le beurre de karité peuvent également aider à hydrater et à nourrir votre peau sous le soleil estival.
Lorsque vient le temps d’appliquer la crème solaire, il est important d’en réappliquer aux deux heures environ, sans oublier les oreilles et les lèvres pour lesquelles il existe également des baumes avec FPS! Fait important, la quantité à appliquer pour une personne de taille adulte est d’environ sept cuillères à table.
Chasse-moustiques naturels
Pour se protéger contre les piqûres de moustiques tout en évitant les produits chimiques agressifs comme le DEET, les chasse-moustiques naturels sont une solution de rechange sûre et efficace. Recherchez des répulsifs qui contiennent des ingrédients naturels tels que l’huile essentielle de citronnelle, d’eucalyptus, de lavande ou de géranium. Ces ingrédients ont des propriétés répulsives contre les moustiques en plus de dégager un parfum agréable pour vous et votre famille.
Les chasse-moustiques naturels se trouvent habituellement sous forme de vaporisateurs ou de lotions. Assurez-vous de les appliquer généreusement sur la peau exposée avant d’aller à l’extérieur, surtout en début de matinée et en fin de journée lorsque les moustiques sont les plus actifs.
Comme pour les crèmes solaires, assurez-vous que les ingrédients inactifs ou non médicinaux sont naturels et exempts de parabène ou de phénoxyéthanol, des agents de conservation jugés néfastes pour la santé de la planète.
En comparant les crèmes solaires et les chasse-moustiques naturels avec leurs homologues conventionnels, il est clair que les produits naturels offrent de nombreux avantages. Non seulement ils sont plus doux pour la peau et moins susceptibles de causer des réactions allergiques, mais ils sont également plus respectueux de l’environnement.
En choisissant des produits naturels pour protéger votre famille du soleil et des moustiques, vous faites un choix conscient pour votre santé et pour la planète. Optez pour des marques qui mettent l’accent sur des ingrédients de haute qualité, issus de sources durables et respectueuses de l’environnement.
Bon été!
Catherine Turnbull, Naturopathe diplômée de l’ÉESNQ
École d’enseignement supérieur de naturopathie du Québec
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